Il n’y avait plus d’ailleurs de préjugé dominant (les contemporains n’ont jamais de préjugés) ; enfin on se serait cru d’accord. […] S’il n’a pas raison, je le crois bien, dans toutes ses revendications, il y a lieu du moins qu’un lui réponde : on a désormais à compter et probablement à transiger sur plus d’un point avec lui. […] Les premières pages ne sont autre chose qu’un sacrifice, qu’en homme d’esprit il a cru devoir faire, un peu malgré lui, au goût du temps. […] Nous ne croyons pas méconnaître le sentiment avoué du noble survenant, en disant que ce haut hommage ressort de son opposition même. […] Plus d’un aperçu ingénieux aurait gagné, je le crois bien, à être rendu d’une manière plus simple, plus purement spirituelle, et avec l’habitude si française de l’auteur.