On croirait en effet que la vie a pour but de renoncer à la vie. […] Qui peut se croire plus sage et plus fort que la destinée, et lui dire : — c’en est trop ? […] Et tandis que le juste tremble souvent au lit de la mort ; elle se croit assurée de la destinée des bienheureux. […] Je crois donc qu’elle me sera toujours épargnée. […] et si ses incomplètes jouissances vous semblent d’un tel prix, pourquoi les croyez-vous irréparables ?