Il crut de Villiers de l’Isle-Adam ce que d’autres crurent de lui-même, et, sur la foi de l’auteur d’Axël, il l’affirme lecteur de Saint Bernard, Saint Thomas (déjà !) […] Ne croyons pas à ces lignes de M. […] Il croyait naturellement à un monde des essences. […] Croyons seulement à la moitié de ce que dit M. […] Il faut en croire leurs œuvres plus que leur dire.