Tout porte à croire qu’il en est ainsi de la conscience en général. […] Ne devons-nous pas croire, alors, que si notre perception contracte ainsi les événements de la matière, c’est pour que notre action les domine ? […] je le crois, mais je n’insisterai pas là-dessus pour le moment. […] /Nous sommes donc autorisés à croire que la force qui évolue portait d’abord en elle, mais confondus ou plutôt impliqués l’un dans J’autre, instinct et intelligence. […] Avouons notre ignorance, mais ne nous résignons pas à la croire définitive.