Au reste, c’est un trait honorable pour la presse en France, que le ton respectueux et l’absence de critique au sujet de Chateaubriand. […] pour le commun des spectateurs et du public, et pour un commun même très-distingué, cet essai est utile, instructif, et donne à penser ; notre éducation ainsi s’achève, notre sens critique s’aiguise en divers sens : après Shakspeare, Sophocle.