Il a été évidemment écrit sous l’empire du plus grand préjugé de notre âge, dans la foi exaltée ou calme, superficielle ou profonde, d’un croyant moderne à cette Économie politique qui a succédé à une détestable philosophie, et voilà ce qu’avant tout la Critique devait signaler. […] La seule partie de l’ouvrage de Jobez que nous devons arracher à la condamnation dont le livre peut être frappé par une critique sévère, c’est la dernière partie, relative à l’agriculture. […] La Critique n’a point de parti pris.