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818. (1906) La nouvelle littérature, 1895-1905 « Deuxième partie. L’évolution des genres — Chapitre III. Le roman » pp. 135-201

La clarté de sa critique n’y gagne pas toujours ; telles visions sont confuses, quoique précises. […] Boylesve a pressenti la critique qui devait lui être faite. […] Le critique est notoire. […] Marcel Boulenger, qui connaît notre belle langue et l’étudie tous les jours, ne s’est jamais montré critique tendre à l’égard des solécismes d’autrui. […] La critique a été unanime à reconnaître leur originalité, et l’harmonie de leur style.

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