En dehors de son enseignement officiel, il a publié plusieurs fragments de critique philosophique qui se recommandaient par une grande fougue et une grande originalité. […] La fidélité épurée du renseignement, la hauteur de l’impartialité, la conscience de la Critique, sans laquelle il n’est pas d’histoire, toutes ces choses manquent ici, et le style avec sa magie ne les remplace pas. […] Les critiques adressées à ses premiers volumes n’ont pas exercé sur lui la moindre influence. […] … Et la Critique, qui goûte le mieux le très curieux talent de M. […] Ferrari recouvre d’un talent si particulier le néant de celle pitié métaphysique, qu’on l’oublierait, si la Critique n’avertissait.