Ce Prélat est un des Ministres de l’Eglise, qui ont été le plus maltraités par l’Auteur du Dictionnaire critique. […] Nous ajouterons donc, par un principe d’équité, que ce Prélat doit être regardé, sinon comme un des premiers Ecrivains de l’Eglise, du moins comme un Ministre laborieux, dont les talens sont plus dignes d’éloge que de critique.