La critique de Boileau. […] La critique, en ce temps-là, ne s’exerçait pas paisiblement et comme un droit que nul ne songe à nier. […] C’est en deux mots la définition de la critique avant Despréaux. […] Mais d’abord les honnêtes gens ne comprirent pas, d’autant que cette impartiale critique s’annonçait sous le nom de Satire. […] Il a rédigé, malgré lui, les Sentiments de l’Académie sur le Cid, mesquine critique d’un chef-d’œuvre.