Notre faible critique ne peut pas trouver de termes pour caractériser cette étrange et sublime composition. […] Nicole, qui retrouvait les jésuites sous les quiétistes, avait réfuté ces derniers dans un livre où Fénelon voyait « la plus implacable critique des mystiques. » L’abbé de Rancé, dans une lettre d’une modération et d’une clarté admirables, se prononça contre l’archevêque de Cambrai, avec l’autorité que lui donnaient quarante années de solitude employées à méditer sur la perfection chrétienne.