Boissier fait à fond cette critique, — qu’il avait connu saint Paul, et que si saint Paul ne l’avait pas converti, il l’avait, du moins, imprégné et saturé d’idées chrétiennes. […] III Et la chose est exécutée, du reste, avec une souplesse, une douceur et une discrétion incomparables, qui font penser à une autre Critique comme moi, Madame Pernelle, laquelle n’était pas très contente non plus : … Pour vous, sa sœur, vous faites la discrète, Et vous n’y touchez pas, tant vous semblez doucette !