A la science revient de plus en plus la constatation des faits particuliers et généraux, la recherche des effets et des causes, la critique des textes, des dates, des documents ; à la littérature le souci de l’arrangement, des proportions, du style. […] Ce que nous disons là de l’histoire, il faut l’étendre à la critique. […] Cela revient à dire que la critique, appliquée aux œuvres d’autrefois, rentre de plus en plus dans l’histoire, en devient partie intégrante et gagne par là même en certitude. On commence à pouvoir parler, dans les limites que je viens de tracer, de critique scientifique.