Je trouvai, un jour de désespoir où la littérature manquait à la Critique comme la marée à Vatel, son recueil de poésies, Le Roitelet, sur le fumier qui engraisse les champs de Dentu, et je fus le coq de cette perle. […] Car, lions et gazelles, j’aime mieux cela pour désigner et différencier les divers poètes et les diverses poésies, que l’appellation pédantesque et traditionnelle : poètes majeurs, poètes mineurs, poetæ majores, poetæ minores, employée par la Critique de nos pères.