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14. (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « M. de Féletz, et de la critique littéraire sous l’Empire. » pp. 371-391

Le critique, à lui seul, ne fait rien et ne peut rien. […] La critique (quand critique il y a), à l’abri d’un pouvoir tutélaire, accomplit son œuvre et sert la restauration commune. […] Apprécions bien ce côté essentiel de la critique d’autrefois. […] Ils ont tout du critique, excepté le judicieux. […] Il y avait loin de là au critique futur.

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