Enfin Rome m’a laissé froid : ses monuments, après ceux d’Athènes, comme je le craignais, m’ont paru grossiers. […] Ne craignez rien : je suis cuirassé. […] Quand ces salons se ferment, craignons les orages civils ou les décadences littéraires.
Enfin Rome m’a laissé froid : ses monuments, après ceux d’Athènes, comme je le craignais, m’ont paru grossiers. […] Ne craignez rien : je suis cuirassé. […] Quand ces salons se ferment, craignons les orages civils ou les décadences littéraires.