Ne craignez pas le ridicule. […] En lui demandant davantage, ne craint-on pas de l’engager à revoir les pièces de ce grand procès ? […] Tu ne crains plus rien, Françoise ni l’infidélité, ni l’absence ! […] Si peu chers qu’ils se puissent vendre, auriez-vous bien le courage de porter ces ornements infimes, et ne craignez-vous pas qu’on ne les reconnaisse à votre cou et à vos bras ? […] Qu’il me soit permis, en terminant, d’en citer quelques fragments : ils excuseront ma sévérité, qui, je le crains, paraîtra excessive à bien des gens.