Comment n’a-t-on pas craint d’étaler sous la vitrine d’un libraire ce cœur, tiède de ses derniers battements, comme, nous autres hommes, nous y étalons nos cerveaux ? […] … qu’un moment j’ai craint cette diablesse de femme d’esprit dont un poète a dit : Une femme d’esprit est un diable en intrigue. […] J’ai craint même plus que le diable : pourquoi ne pas le dire ? j’ai craint le bas-bleu.