Il est de l’opinion de Victor Hugo, ce fort porcher poétique, qui n’a pas craint d’écrire : J’ai nommé par son nom le cochon, — pourquoi pas ? […] IL ne devrait donc rien craindre, ce Franc, si franc, trop franc : ni la chute du ciel, auquel il ne croit pas, sur la lance qu’il n’a pas, — ni sa chute, à lui, sous sa plume ! Mais il craint autre chose. […] Il y a toujours dans tout grand artiste une hauteur originelle et une pureté de génie, qui dédaigne de toucher à ces choses honteuses dans lesquelles l’auteur de L’Assommoir ne craint pas de plonger sa main… XII Oui !