On peut quelquefois, quand on n’est pas très habitué à pratiquer l’opération, et que l’on craint que sa longueur ne nuise au succès de l’expérience ; on peut, dis-je, enlever la souffrance au moyen de l’éthérisation à laquelle on soumet les animaux. […] Il n’y a pas à craindre, avec l’acide azotique, de dépasser le point où se produit la coloration, comme avec le chlore.