» Plus loin, le pamphlétaire hausse le ton et ne craint pas d’écrire : « Il faut avouer que Molière est lui-même un Tartuffe achevé. […] L’auteur du Vieux Cordelier, Camille Desmoulins, n’a pas craint d’écrire un jour que Molière a peint dans Le Misanthrope un portrait de républicain, Alceste. […] Heureusement pour eux qu’ils craignaient moins le frôlement d’une épée que le contact du fusil d’un apothicaire.