Moins assurément que des vieux sermons qui ne craignaient pas de bafouer ses vices, d’épouvanter sa lâcheté devant les plaisirs bas. […] Si médiocre que soit un vaincu, sa colère est toujours à craindre : c’est pourquoi l’extermination est nécessaire. […] Jamais à court, il répondait, prophétisait comme les almanachs, au petit bonheur, émettant des prédictions de cette force : « Vous réussirez, mais il y aura bien des obstacles à vaincre, bien des tourments à subir » ; ou bien : « Ne craignez rien, tout finira selon vos désirs ». […] Elle doit craindre un contact, un regard trop prolongé, une parole douteuse.