Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui ne peuvent tuer l’âme. Craignez plutôt celui qui peut faire périr l’âme et le corps dans la géhenne284. […] Et science sans conscience n’est que ruine de l’ame, Il te convient servir, aimer, et craindre Dieu, Et en luy mettre toutes tes pensées et tout ton espoir ; Et, par foy formée de charité, Estre luy adjoinct, En sorte que jamais n’en sois désemparé par peché.