Ils ont créé tout un décor de glaives, d’urnes, de cyprès, de chimères et de licornes qui s’en va déjà rejoindre au magasin des accessoires surannés le décor romantique, les nacelles, les écharpes, les gondoles, les seins brunis et les saules, les cimeterres et les dagues qui en 1850 avaient déjà cessé de plaire. […] Je fus un homme. » Poètes d’aujourd’hui et de demain — et par ce mot j’entends, au beau sens étymologique, tous ceux qui créent, — soyons des hommes !