Il médite d’échapper le plus tôt possible à la responsabilité d’une diplomatie qui méconnaît les intérêts permanents de la France pour des intérêts transitoires qu’une bataille crée et qu’une autre bataille détruit. « Ce n’est plus un ministre qu’il faut à l’empereur, dit-il, ce sont des commis. » À travers la victoire, il voit la perte de tout système français, en Turquie comme en Allemagne.