Ni Ferrari, l’auteur des Révolutions d’Italie, un fataliste assez carré pourtant, mais qui a le luxe de son fatalisme, ni personne, n’approchent de la simplicité de fatalisme de Castille, qui ne croit à rien qu’à ceci peut-être, qui, du reste, est une assez jolie fatuité : de toute éternité l’univers fut créé en vue de la Révolution française et de son intégral accomplissement.