/ 1650
811. (1865) Causeries du lundi. Tome VII (3e éd.) « M. Necker. — II. (Fin.) » pp. 350-370

Dans son second et son troisième ministère, qui durent en tout deux ans (août 1788-septembre 1790) et qui sont séparés par un court exil, par un retour triomphant et par la date ineffaçable du 14 Juillet, dans ces deux derniers ministères qui n’en font qu’un, sachant désormais assez bien à quoi s’en tenir sur la Cour et les courtisans, M.  […] Necker ne fit plus que baisser et déchoir rapidement ; les meneurs de l’Assemblée prirent à tâche de le déjouer et de le dépopulariser en détail, en même temps que le parti de la Cour le raillait sans cesse et le piquait avec amertume.

/ 1650