L’abbé d’Olivet, qui parle de sa mort, de la surdité qui lui survint tout à coup quatre jours auparavant, au milieu d’une compagnie, et de l’apoplexie qui l’emporta en moins d’un quart d’heure, donne, sur ouï-dire, quelques traits de son caractère. […] Pour que l’avertissement du moraliste porte coup, pour que les portraits du peintre respirent, ni l’expression ne peut être trop forte, ni les couleurs trop vraies.