Il était depuis quelques années, et par suite de la mort de la reine, sous le coup de ce qu’il appelait sa disgrâce et son exil. […] Ainsi, dans le duel de chant et d’harmonie entre Pan et Apollon déguisé en berger, lorsque Pan tout d’un coup s’émancipe à des insolences ironiques contre le sexe et qui font rougir les nymphes, Apollon a peine à ne pas éclater : Quel courroux enflamma l’œil qui perce en tout lieu !