C’est alors que le poème épique peut être empreint de couleurs primitives et revêtu de formes grandioses. […] Il fallait de la rapidité dans le récit, et des couleurs éclatantes. […] Ainsi la tragédie, bien que plusieurs talents du second ordre s’y exerçassent avec honneur, n’avait pas une couleur bien déterminée. […] L’obscénité chercha aussi une couleur philosophique, et mêla constamment ses turpitudes avec l’irréligion. […] L’auteur du discours dont il s’agit est peut-être le premier qui ait vivement pris la couleur d’un nouveau siècle.