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330. (1904) Les œuvres et les hommes. Romanciers d’hier et d’avant-hier. XIX « Gustave Droz » pp. 189-211

Gustave Droz, qui fixe sous son fusain couleur de chair… (trop couleur de chair…) la chose qui passe, l’attrait qui s’évanouit, la mode qui va passer, n’est pas seulement qu’un La Bruyère mauvais sujet, c’est aussi un Marivaux. […] Il est pourtant bien spirituel, Mistigris, ce bâtard abandonné de Candide, ce rapin sans respect, sceptique et railleur, qui a brouillé de la couleur chez ce grand peintre du Désenchantement qu’on appelle Méphistophélès !

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