Il force l’expression pour donner de la couleur à son style ; surtout il répète continuellement ses idées. […] Flaubert, Balzac, les tragiques anglais, Théophile Gautier surtout, lui fournissent ses couleurs ; il peignait lourdement, grossièrement. […] La couleur, pour M. […] Il y a quatre ou cinq grandes lignes pour diviser les époques ; il y a une dizaine de grands noms qui se dressent isolément comme des poteaux indicateurs ; tout le reste est un grouillement confus, monotone, bien que l’auteur essaie d’entasser ses couleurs ; c’est toujours du vert et du rouge, du rouge et du vert, et on finit par ne plus voir ni le rouge ni le vert. […] Mais la marque la plus « tainienne », la plus caractéristique du maître, ce fut le pédantisme, le pédantisme à la fois fumeux et fort en couleur.