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235. (1860) Ceci n’est pas un livre « Une préface abandonnée » pp. 31-76

Sur les portes non vernies, des trumeaux vides, où l’araignée pend déjà son hamac, et qui attendront vainement le pinceau, — le pinceau au bout duquel la couleur, fraîchement broyée, sèche et se cristallise ! […] Ce sont les deux mêmes qualités qui feront le grand sculpteur, le grand peintre, le grand compositeur, — le grand écrivain : la ligne et la couleur. […] L’écrivain a la couleur — quand l’idée naît avec intensité dans le cerveau. […] La couleur manque à Jules Janin comme à M. 

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