Son pacifisme ne naît point d’un déséquilibre de l’âme et du corps ; au contraire, il lui demande une harmonie définitive. […] Mais la Marne, ces quatre années de guerre et de grandes vacances, il s’en est débarrassé dans le Diable au corps ! […] En vérité, le Diable au corps, il le doit à ses seuls souvenirs et à son imagination personnelle. […] Que le Diable au corps nous paraît alors mince, où l’instinct seul avait sa place ! […] Être sensuel, c’était pour les savants, jouer avec leur corps, pour les athlètes avec leur âme.