Il y avait des lois, il n’en respecta aucune dès qu’il s’agissait des intérêts de sa haine ; il persécuta ceux qui les réclamaient ; il opprima les corps établis pour en être les dépositaires et les vengeurs. […] Les lois qu’il a violées, les corps de l’État qu’il a opprimés, les parlements qu’il a avilis, la famille royale qu’il a persécutée, les peuples qu’il a écrasés, le sang innocent qu’il a versé, la nation entière qu’il a livrée tout enchaînée au pouvoir arbitraire, auraient dû s’élever contre ce coupable abus des éloges, et venger la vérité outragée par le mensonge.