Nous n’avons plus d’argent pour enterrer nos morts… Le prêtre est là marquant le prix des funérailles, Et les corps étendus, troués par les mitrailles, Attendent un linceul, une croix, un remords. […] Le prêtre est là marquant le prix des funérailles, Et les corps étendus, troués par les mitrailles, Attendent un linceul, une croix, un remords. […] Comme à l’ordinaire, je cache tout, ne pouvant obéir qu’à mon instinct d’aimer. — Si j’étais libre de suivre celui de mère, je changerais tout le régime adopté, et dès longtemps, je crois, j’aurais rétabli l’harmonie dans ce corps chéri, qui semble se dissoudre d’une maigreur désespérante, d’une faim étrange et jamais contentée, malgré quatre repas abondants et un bon sommeil souvent. […] Vous apprenez à tous à ne jamais se décourager, et l’esprit en vous se montre de plus en plus triomphant dans les luttes avec le corps. » — À cette date (7 mai 1869), M.