Rien ni personne ne saurait appréhender la pensée au corps. Elle n’a plus de corps. Le manuscrit était le corps du chef-d’œuvre. […] Il se flatte d’être une âme sans corps. […] Mais il ne saurait y avoir, dans ce monde, d’esprit sans corps.
Rien ni personne ne saurait appréhender la pensée au corps. Elle n’a plus de corps. Le manuscrit était le corps du chef-d’œuvre. […] Il se flatte d’être une âme sans corps. […] Mais il ne saurait y avoir, dans ce monde, d’esprit sans corps.