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492. (1930) Physiologie de la critique pp. 7-243

Rien ni personne ne saurait appréhender la pensée au corps. Elle n’a plus de corps. Le manuscrit était le corps du chef-d’œuvre. […] Il se flatte d’être une âme sans corps. […] Mais il ne saurait y avoir, dans ce monde, d’esprit sans corps.

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