Mon jardinier, qui est un corps de fer, me reproche lui-même la vie trop frugale que j’observe, et prétend que je ne pourrai pas la soutenir longtemps. […] assure donc les fondements de ce corps qui menace ruine ; ce corps s’écroulera avant ta maison, tu seras bientôt forcé de quitter l’une et l’autre de ces demeures ! […] Son corps fut pendu en effigie aux créneaux de la forteresse d’Adrien. […] pourquoi ne me dépouille-t-il pas plus vite de ce corps mortel, ce dernier jour qui est le premier d’une autre vie ? […] Je reviens voir le lieu D’où loin de ce bas monde elle est montée à Dieu Sans voile, abandonnant son beau corps à la terre !