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1132. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

Avec mademoiselle Dumesnil vous ne pouviez rien prévoir ; avec mademoiselle Clairon tout était convenu à l’avance. […] « C’est une réponse qui convient à toutes les questions. […] Mais, ceci dit, convenons que ce jeune Chrémès, pour sa bonne humeur, pour sa vivacité et sa bonne grâce, est bien un enfant de Térence. […] Tout lui convient, tout lui sert. […] Placez Marivaux entre Molière et Regnard, comme une transition élégante, facile et retenue, des mœurs bourgeoises aux mœurs relâchées de la cour, et vous remettrez ces deux hommes à la place qui leur convient.

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