Une réserve générale, qu’il nous convient avant tout de faire avec M. de Carné pour être ensuite plus à même de l’examiner dans ses conclusions et de le louer, c’est qu’il n’a évidemment été nourri à admirer et à aimer que bien peu des choses et des hommes qui pour nous, enfants de la Révolution ou de l’Empire, ont ravi notre admiration première.