Une autre conception de la psychologie physiologique vient continuer encore ce caractère collectif de notre sensibilité : c’est la doctrine de l’évolution et des effets de l’hérédité accumulés dans l’individu. […] Mais il n’en résulte pas que le bien-être soit essentiellement lie au changement plutôt qu’à l’état même, qu’à l’existence continue, ou mieux à l’action continue. […] Comme certaines sensations, par exemple celle de la chaleur, peuvent passer d’une manière continue de la forme agréable à la forme pénible, on suppose théoriquement un état intermédiaire d’indifférence.