Il y a eu toute une école poétique au dix-septième siècle et au commencement du dix-huitième, pour laquelle, à certains égards essentiels, le siècle de Louis XIV n’a pas existé ; elle se continue avec le goût Louis XIII et de la première Régence, et finit à la seconde, sous La Motte et Fontenelle. […] Après avoir démontré, fort joliment, que la gloire après la mort n’est rien, il continue : Cessez donc, ô Sapho, de vous en faire accroire ; Dans un monde nouveau ne cherchez plus la gloire, Et faites succéder, au soin de l’acquérir, Le soin de la connoître et de vous en guérir. […] A part ce soupçon injurieux, elle continuait de garder sa place. […] Pour celle de Paris, continuez à faire arrêter les lettres de Mons.