On s’est souvent étonné, depuis que nous pensons tout haut dans ce siècle, de notre admiration continue et persévérante pour ce grand écrivain, si peu poète dans la grande acception du terme, et surtout si peu lyrique, si peu éloquent, si peu enthousiaste. […] Sans la langue de Voltaire, le journalisme n’aurait pas pu naître, le monde aurait continué à être sourd ; il fit l’écho qui répercute partout les idées.