Que sont devenus les critiques d’art qui furent contemporains de Gautier ? […] On y trouve des chroniques exquises, de courtes nouvelles, d’admirables morceaux d’histoire contemporaine. […] Je ne veux pas humilier mes contemporains, en citant des noms dont nous n’avons plus les équivalents. […] C’est l’âge où l’on commence ordinairement à étudier la « jeunesse contemporaine ». […] (Taine disait déjà cela de ses cadets en 1855, et je le dirai bientôt des contemporains de Fernand Gregh.)