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355. (1888) Impressions de théâtre. Première série

Vous vous rappelez avec quelle défiance et quelle froideur il fut reçu par les contemporains de Corneille. […] Ce qui frappait les contemporains de Molière et Molière tout le premier, c’étaient les « singularités » du misanthrope. […] Cela ne semblait pas « froid » du tout aux contemporains. […] C’est le moine et l’ascète du théâtre contemporain. […] Pour moi, ce rien de romanesque, mêlé à une vive esquisse de mœurs contemporaines, n’a rien qui me déplaise.

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