Beaucoup de mes chers contemporains font bien pire, je vous assure. […] Comme ils ne sont plus du tout nos contemporains, leur fausseté ne nous gêne plus : nous ne voyons en eux que les témoins du romanesque d’une époque ; et même nous finissons par les aimer, parce qu’ils ont plu à nos pères. […] Elle est l’Isis du roman contemporain, la « bonne déesse » aux multiples mamelles, toujours ruisselantes. […] Les Contemporains, I, et Impressions de théâtre, I.