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1190. (1926) La poésie de Stéphane Mallarmé. Étude littéraire

Il avait pour ses contemporains de plume, pour les maîtres alors reconnus du roman, Daudet, Goncourt, même Zola, une admiration courtoise. […] C’est généralement le public contemporain et payant. […] Le Poète, avec une contemporaine de ses soirs (celle de la Prose ?) […] Un Corneille, un Racine, un La Fontaine, n’ont prétendu à rien autre qu’à traiter consciencieusement un sujet précisé : ils sont, en ce sens, les frères de leurs contemporains, les peintres hollandais. […] Il est de fait pourtant que cette apparence de quêteur d’absolu frappa premièrement, comme un signe très visible, les contemporains sympathiques, plus ou moins ironiquement, à Mallarmé.

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