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322. (1865) Du sentiment de l’admiration

[Du Sentiment de l’admiration] Messieurs, Chers Élèves, Dans une fête où tout est sincère, ne doit-on pas considérer le discours que j’ai mission de prononcer à cette place comme un dernier hommage rendu à la vérité ? […] Mais je n’en veux qu’à cette fausse sagesse, calculatrice et imprévoyante à la fois qui, sous prétexte de s’en tenir au nécessaire, n’essaie pas même de conquérir le superflu ; à cette sagesse banale qui considère le travail comme une action régulière et mécanique et qui s’interdit comme une imprudence tout effort intellectuel qui n’est pas rigoureusement commandé.

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