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192. (1858) Du vrai, du beau et du bien (7e éd.) pp. -492

Chaque école ne l’a considérée qu’à son point de vue. […] D’où lui viennent, en un mot, ces vérités éternelles que j’ai tant considérées ? […] Dans la vérité des choses, la raison conçoit l’unité absolue comme un attribut de l’être absolu, mais non pas comme quelque chose en soi, ou si elle la considère à part, elle sait qu’elle ne considère qu’une abstraction. […] Déjà nous nous rapprochons de l’idée du beau ; car nous ne considérons plus ce qui est utile, mais ce qui est comme il faut. […] On n’a jamais considéré l’imprudence comme un crime.

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