Et cela est si vrai, que, sans ce bonapartisme de conscience qu’il ne put s’arracher du cœur, on pourrait défier d’expliquer sa vie. […] Comme il est mort avant la naissance de la république, dont il eût aimé la dictature encore plus que la liberté, comme il s’est agité, mais n’a pas agi, — rien n’étant plus différent de l’action politique que les vaines agitations d’un journaliste de parti, — on peut sans danger lui établir une conscience posthume irréprochable, et supposer magnifique le rôle qu’il n’a pas joué.